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quelles crypto-monnaies peuvent être minées

Quelles crypto-monnaies peuvent être minées

En tant que cinquième économie mondiale, l’Inde dispose d’une population jeune et désireuse d’adopter les nouvelles technologies. Plus de 50 % de sa population a moins de 25 ans, ce qui favorise l’innovation et l’adoption des crypto-actifs https://casinos-canadiens.net/reviews/villento-casino/. Cette démographie est particulièrement visible dans les centres urbains, où les paiements numériques gagnent rapidement en popularité.

Les cryptomonnaies ont gagné en popularité en Inde au début des années 2010, les premiers à les adopter se livrant au trading et au minage dans un environnement largement non réglementé. En 2013, la Reserve Bank of India (RBI) a émis son premier avertissement sur les risques liés aux cryptomonnaies. Malgré ces avertissements, le marché s’est développé, conduisant à l’émergence de bourses indiennes de cryptomonnaies en 2017.

Nirmala Sitharaman, ministre des Finances, est pressée de toutes parts pour réguler ce nouveau marché, alors que le volume des transactions a explosé dans le pays ces derniers mois. WazirX, filiale de Binance, a estimé la hausse du volume annuel de transactions à 1 735 % par rapport à 2020, pour un montant total de quelque 43 milliards de dollars. Cette progression est accompagnée par de grands investisseurs mondiaux déjà présents sur le marché des cryptos, tels qu’Andreessen Horowitz qui a commencé à investir en Inde l’an dernier en soutenant la plateforme CoinSwitch Kuber. Et Nirmala Sitharaman de constater : “L’ampleur et la fréquence de ces transactions ont rendu impératif de prévoir un régime fiscal spécifique.”

Avis de non-responsabilité : Conformément aux directives de The Trust Project, BeInCrypto s’engage à fournir des informations impartiales et transparentes. Cet article vise à fournir des informations exactes et pertinentes. Toutefois, nous invitons les lecteurs à vérifier les faits de leur propre chef et à consulter un professionnel avant de prendre une décision sur la base de ce contenu.

toutes les crypto-monnaies sont-elles finies

Toutes les crypto-monnaies sont-elles finies

D’autant que la technique de validation employée ne nécessite pas toujours de ferme de minage – un simple ordinateur peut suffire. À mesure que les technologies s’améliorent, le minage se simplifie pour beaucoup de cryptos.

Or, les décisions des États dépendent évidemment de ce que vont faire les autres : si vous êtes le seul à interdire les cryptos, toutes les entreprises liées au domaine vont émigrer ailleurs… et vous passerez à côté d’un développement technologique ultra-porteur, de la croissance et des impôts qui vont avec.

Les blockchains, quant à elles, sont des registres distribués qui enregistrent des transactions sur plusieurs ordinateurs. Chaque transaction est ajoutée à un “bloc” et liée au bloc précédent, créant ainsi une chaîne de blocs. Cette nature décentralisée des blockchains les rend très résistants à la manipulation et à la fraude.

Une des caractéristiques clés des cryptomonnaies est leur décentralisation, ce qui signifie qu’elles ne sont pas contrôlées par une autorité centrale comme les banques ou les gouvernements. Cela offre aux individus plus d’autonomie sur leurs finances et élimine le besoin d’intermédiaires dans les transactions.

L’absence de réglementations claires favorise en effet un climat d’incertitude. Surtout, cela entrave l’adoption généralisée de ces actifs numériques révolutionnaires. Cela empêche aussi les entreprises et les investisseurs d’opérer dans l’industrie crypto.

Quelles crypto-monnaies peuvent être minées

Derrière ce mot datant des millénaires, le minage de cryptomonnaie consiste à résoudre des formules mathématiques complexes dans l’objectif d’approuver les différentes crypto transactions sur un réseau bien spécifique. C’est, d’une certaine façon, le procédé de validation des transactions faites sur une blockchain.

Les GPU brillent par leur adaptabilité, permettant aux mineurs de jongler entre différentes cryptomonnaies qui supportent le Proof of Work (PoW). Cette flexibilité fait des GPU un choix judicieux, non seulement pour leur efficacité énergétique, mais aussi pour leur capacité à s’attaquer à divers algorithmes de minage.

Afin d’acheter des monnaies virtuelles et de les utiliser, vous devez faire l’acquisition de jetons particuliers : les « tokens ». Une fois les tokens en votre possession, il faut les stocker dans un portefeuille électronique appelé « wallet ». Pour les dépenser, il existe des cartes de débit / crédit crypto-monnaie.

En septembre 2022, Ethereum a été mis à niveau vers Ethereum 2.0 et a changé son protocole de participation de preuve de travail à la preuve de la participation. Pour cette raison, les seules crypto-monnaies qui peuvent être extraites à partir de l’algorithme ETHASH et qui appartiennent au projet Ethereum de Vitálik Buterin sont :

l'inde propose d'interdire toutes les cryptomonnaies

Derrière ce mot datant des millénaires, le minage de cryptomonnaie consiste à résoudre des formules mathématiques complexes dans l’objectif d’approuver les différentes crypto transactions sur un réseau bien spécifique. C’est, d’une certaine façon, le procédé de validation des transactions faites sur une blockchain.

Les GPU brillent par leur adaptabilité, permettant aux mineurs de jongler entre différentes cryptomonnaies qui supportent le Proof of Work (PoW). Cette flexibilité fait des GPU un choix judicieux, non seulement pour leur efficacité énergétique, mais aussi pour leur capacité à s’attaquer à divers algorithmes de minage.

L’Inde propose d’interdire toutes les cryptomonnaies

Les propos et opinions exprimés dans cet article n’engagent que leur auteur, et ne doivent pas être considérés comme des conseils en investissement. Effectuez vos propres recherches avant toute décision d’investissement.

La loi, qui doit être présentée au Parlement lors de la prochaine session, permettra des exceptions afin de promouvoir la technologie blockchain sous-jacente, a précisé le bulletin du Parlement sans apporter plus de précisions.

L’Assemblée nationale indienne travaille sur un proposition de loi visant à interdire les cryptomonnaies, comme le Bitcoin ou Ethereum, et lancer une monnaie numérique émise par la Banque de Réserve de l’Inde (RBI), la banque centrale du pays, d’après Reuters. Le texte, actuellement en discussion devant le Parlement, prévoit des exceptions à cette interdiction lorsque l’objectif de promouvoir la technologie sous-jacente est rempli. Jusqu’à 10 ans d’emprisonnement Cette prohibition est née à la mi-2019 d’un groupe de travail rattaché au gouvernement indien qui a recommandé d’interdire toutes les cryptomonnaies privées. Cette interdiction est accompagnée d’une peine d’emprisonnement pouvant aller jusqu’à 10 ans et de lourdes amendes pour tout individu traitant des devises numériques. La Banque de Réserve de l’Inde s’est également positionnée à plusieurs reprises en faveur d’une interdiction des cryptomonnaies. En avril 2018, elle avait ordonné aux institutions financières du pays de rompre dans un délai de trois mois les liens avec les entreprises et les particuliers qui utilisaient des cryptomonnaies. Saisie par l’Internet & Mobile Association of India (IAMAI), cet ordre avait été annulé en mars dernier par la Cour suprême indienne qui a jugé que cette interdiction bancaire était inconstitutionnelle. Mais cette décision ne concerne que l’étendu des pouvoirs de la RBI et pas ceux du Parlement et du gouvernement qui peuvent toujours a priori interdire les cryptomonnaies. Peu de pays ont interdit les cryptomonnaies De nombreux pays cherchent à encadrer l’utilisation des devises numériques, pour réduire leur impact sur la stabilité financière, mais il est rare qu’un gouvernement aille jusqu’à son interdiction. Dans certains Etats, l’utilisation des cryptomonnaies est illégale comme le Pakistan, la Bolivie ou encore le Maroc. En France, l’heure n’est pas à l’interdiction mais à la réglementation. En réaction à la décapitation de l’enseignant Samuel Paty en octobre dernier à Conflans-Sainte-Honorine, le ministre de l’Economie Bruno Le Maire avait annoncé son intention de renforcer le contrôle sur les cryptomonnaies, en particulier dans un objectif de lutte contre le terrorisme. Début septembre 2020, il avait déjà expliqué l’importance de mieux réguler ces devises, telle que Libra, lors d’une déclaration commune avec ses homologues allemand, italien, espagnol et néerlandais début septembre. “La question, c’est de savoir qui a le droit d’émettre de la monnaie. Est-ce l’Etat, la banque centrale ou n’importe qui ? Nous, nous disons, ce sont les Etats et les banques centrales”, avait prévenu le ministre.

La RBI a lancé cette année sa propre roupie numérique hébergée sur la blockchain, une technologie permettant de certifier les échanges en ligne, dans un pays qui compte de moins en moins sur la monnaie fiduciaire. Le Premier ministre Narendra Modi a cependant demandé de réguler davantage ces monnaies privées, afin d’éviter le financement du crime et les risques de mauvaises utilisations chez les jeunes.

Un pays aussi grand que l’Inde devrait au moins s’efforcer de comprendre les terminologies sous-jacentes avant de présenter des projets de loi liés à la technologie au Parlement — cela semble être une démarche précipitée.

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Praise for Risk Taker, Spy Maker: Tales of a CIA Case Officer

“As a veteran of a quarter of a century of traveling the world for the CIA in hot wars and during the height of the Cold War, Broman’s true tales of putting his life on the line recruiting and running spies in a dozen countries are the stuff of action movies and popular espionage fiction…Broman’s detailed account of his months as a platoon commander in the 5th Marines in Vietnam is gripping to read, a worthy addition to the already extensive history of the war written by the American soldiers who fought it.”

–Peter Arnett, winner of the Pulitzer Prize for his coverage of the Vietnam War

“Broman served as Executive Officer, Company H, 2d Battalion, 5 th Marines in An Hoa, Vietnam (this reviewer was a rifle platoon commander in Hotel company for part of Broman’s tenure; after I was grievously wounded, Broman temporarily commanded the platoon… Risk Taker, Spy Maker refreshingly gives the reader the all-too-rare studied insight and subtle nuances of the myriad events in which Broman was either a key player or a witness…The great strength of the book is its author’s ability to extract from these events the significance of how they came to shape the United States’ foreign and domestic policy.”

–Colonel John C. McKay, USMC (Ret), reviewed in the Marine Corps History Journal

“Barry spent a quarter century of a century traveling the world recruiting and handling agents for the Central Intelligence Agency…I can personally attest that he was one of the best. Barry was a recruiting ‘headhunter,’ a unique type of intelligence operations officer with more than 40 recruitments under his belt. He had an unerring ability to assess promising potential assets and to recruit and handle such clandestine agents.”

–Daniel C. Arnold, retired very senior CIA Clandestine Service officer from the foreword of the book

“Broman’s true tales of putting his life on the line recruiting and running spies in a dozen countries are the stuff of action movies.”

—Peter Arnett, Pulitzer Prize-winning author of Live
from the Battlefield

 “[A] remarkable life story.”

–Booklist

Praise for Indochina Hand: Tales of a CIA Case Officer

“In this superbly written personal memoir that lifts the lid on U.S. spy craft techniques, former
CIA spy Barry Broman reveals how he and his fellow headhunters in America’s clandestine
services went about recruiting agents in ‘Hard Target’ adversaries such as China, Russia, and
North Korea….He reveals in Indochina Hand that his spectacular CIA career was shaped initially
by is assignments during his college years in Thailand as an Associated Press photographer, and
Vietnam.”

–Peter Arnett, Pulitzer Prize war reporter for the Associated Press, author of We’re Taking Fire:
A Reporter’s View of the Vietnam War, Tet and the Fall of LBJ

“Indochina Hand grippingly tells us how Barry Broman became the man he is and what role he played in events around the Cold War and after. I saw him in action for some of it and call him
a friend.”

–Ambassador Timothy Carney co-author of Sudan: Land and the People

“Indochina Hand brings back to jolting life a long-forgotten war, one that played heavily in defining the careers, and lives, of a generation of CIA officers. Here again, Broman captures the sights, the sounds, and the smells of the region in a great yarn for anybody interested in the CIA as it set about winning second place in the Southeast Asian Games. Another great read!”

–Milt Bearden, author of The Main Enemy: The Inside Story of the CIA’s Final Showdown With
the KGB

“The chronicle of [Broman’s] Cold War CIA career bounces around the globe with his own recollections of running agents and other espionage derring-do, as well as stories told to him by friends and colleagues. There’s also a good deal about his off-duty travels throughout the world.
The result is an anecdote-heavy, if often stimulating, meander down memory lane.”

–Publisher Weekly

“Everyone will want to stay through the feast for the great storytelling—and the terrific
photos!”

–Nicholas Reynolds, New York Times best-selling author of Writer, Sailor, Soldier, Spy

 

Praise for The Spy from Place Saint-Sulpice

Barry Broman captures not only the intricacies of the world’s second oldest profession, but provides the reader with the texture, the sights, and the sounds of one of the world’s greatest playgrounds for spies – – Paris. Broman spins a yarn that only someone who has walked those streets and run more than a few spies could possibly imagine. The Spyn from Saint-Sulpice will sail to the top of the spy genre.

Milton A. Bearden, Author of “The Main Enemy: The Inside Story of the CIA’s Final Showdown With the KGB

“This page-turner of a spy novel has it all! Spy buffs will revel in young CIA case officer Rick Blayne’s adventures in the last years of the Cold War. Set in Paris, the story reflects all her glory at different times of year; Rick ventures into her finest restaurants and invites us to taste lovingly described wines and menus. Along the way we sense the heat of two alluring romances. The intricate plot builds to a satisfying climax that leaving us hoping that we will hear from Rick again.”

Nicholas Reynolds, author of “Need to Know, World War II and the Rise of American Intelligence”, a New Yorker “Best of 2022” Selection.

“Barry Broman’s first novel is a triumph. For the reader who enjoys a well-crafted, highly readable, sophisticated tale of espionage, set in the most intriguing and romantic locales of France, this novel has it all.”

Colonel Andrew R. Finlayson, USMC (Ret.), author of “Rice Paddy Recon: A Marine Officer’s Second Tour in Vietnam, 1968-1970”

“Broman explores the angst and exhilaration of an intelligence officer looking for his next ‘scalp’ while weighing the moral and physical consequences of his actions put on the other people in his life. Beware, the story will leave you hanging…”

James Stejskal, author of The Snake Eater Chronicles

“…death-daring, surprisingly complex in tone and intention, and thus riveting. Nothing is really overstated or overblown. Barry’s unforced narrative technique works, emotionally and courageously.”

ARGunners.com